Qui est ce ?

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Limage

Mais qui est ce ? on le voit partout sans jamais faire le lien avec quoi que ce soit !
En fait un gros Buzz mondiale mais on ne sait pas encore pour qui ?
le site RUE89 raconte le début de l’histoire.

Paris, New York, Athène, Moscou; le buzz est effectivement mondiale. A une époque j’ai même cru que c’était une campagne de recrutement pour Bnp-Paribas.

je laisse la parole au rédacteur de rue89 qui lève un coin du voile .

"Depuis 1998, L’Image (c’est son nom officiel) s’affiche pourtant sur tous les murs, de Paris à New York, via Athènes ou Moscou.

Cinquante militants dans le monde dirigent un réseau de près de 30 000
personnes chargées de la diffuser. Et ne comptez pas sur Romain, alias Serial Buzzer,
le porte-parole de ce collectif mystère, pour lever totalement le
voile: "Il s’agit peut-être d’un assemblage de plusieurs photos ou le
portrait d’une personne lambda. Les rumeurs les plus folles courent.
Aux Etats-Unis, ça a longtemps été une rock star des années
soixante-dix. En France, la carte d’étudiant de Frédéric Beigbeder!"

Quel est alors le but de ces collages intempestifs? "C’est d’abord une
aventure humaine, la fédération d’individus animés par la même
idéologie et persuadés qu’on n’est pas obligés de suivre les voies
classiques de la communication pour créer du buzz." Tout juste
apprend-on que ladite aventure connaîtra son apogée dans deux ans avec
la publication d’un "manifeste qui va bousculer les idées reçues sur la
place de l’art et de la communication dans la société".

En attendant, le fameux buzz se poursuit. Mais pas toujours dans le
sens souhaité par les créateurs de L’Image. D’abord, de nombreux fans
s’en sont emparés à leur insu et "la collent à la va-vite sur des
tee-shirts ou dans des endroits qui dégradent le paysage urbain",
constate Romain. Et puis, au mois de janvier, L’Image a servi à faire
la promotion d’une pièce de théâtre à Paris et d’un concert à New York,
avec l’accord du collectif cette fois, mais nombre de personnes y ont
vu un commencement de récupération commerciale. "Vraiment pas, se
défend Romain, on n’a pas gagné un centime. C’était seulement le signe
de reconnaissance d’un certain bon goût, une sorte de partage de
valeurs."

Dans les prochains mois, chaque composante du collectif va se dévoiler
une à une, histoire que tout le monde soit connu lors de
l’aboutissement de ce travail. Un travail que Romain résume en une
phrase: "La promotion qui fait l’artiste ou le degré zéro de l’art."
Tout un programme pour L’Image qui, dans deux ans, "aura enfin une
vraie identité".

on attend la suite…

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