Cette évolution de l’identité visuelle fait passer le dessin de l’oiseau de l’ère du babillage enfantin, du dessin animé virevoltant, à l’âge de raison de l’enfant. Il ne virevolte plus, il s’envole. C’est d’ailleurs le titre de l’annonce dans le blog français. De ce point de vue, le changement atteint les objectifs. Ce faisant il perd en attraction affective, en espièglerie, il en devient presque plat et ennuyeux.

Deux éléments accompagnent ce changement: la suppression du nom dans l’identité visuelle et une courte video « argumentaire ».
Sur la suppression du nom, elle apparaît logique compte tenu du mode d’utilisation du réseau via des écrans où l’icône est toujours présente.
Quant à la vidéo qui nous raconte que ce dessin est le résultat de cercles dessinant un réseau, à supposer que ‘l’histoire soit vraie, elle ne tient pas debout; car la logique perceptive n’a rien à voir avec la logique constructive. Personne n’a jamais vu les cercles d’un réseau derrière cet oiseau.